Dimanche, petit en tour en voiture pour repérer un village près de mon travail dans lequel se trouve une pension pour chevaux. Le village est charmant et ressemble étrangement à “mon village”, celui ou j’ai grandis. Pas de passage, une grande rue principale bordée de petites ruelles/impasses. Des champs, des prairies… c’est ici que je veux vivre !
Je me suis mise à rêver, imaginer, que je pourrais un jour quitter mon immeuble et cet univers citadin que je ne supporte plus depuis longtemps. Et si je pouvais sortir de chez moi à n’importe quel heure voir mon cheval à l’autre bout du village, avant d’aller travailler, pendant ma pause déjeuner, après le travail, avant le repas du dimanche. Pourquoi pas moi ?
Le chemin me semble encore tellement long avant d’y arriver…